La solitude n'a pas que du mauvais [Pv Rosalie]

Nombre de messages : 31 Photomaton : Date d'inscription : 06/03/2009

Il est 23h30 à Seattle, et la pluit est tombé toute la journée, encore... Je commence à en avoir presque marre de cette pluie, même si, nous, les vampires, nous sommes obligé de vivre avec, pourquoi ? Je ne sais pas, mais on fait comme si, non ? Voilà près d'une heure que je suis seul ici, dans le salon de la grande maison Cullen. Pourtant, ça ne me dérange pas vraiment, pourquoi ? Ben, je peux pour une fois regarder la télé sans être dérangé. J'adore cela moi, je tenais la télécomande, fermemant par peur qu'elle ne parte ou par habitude, ben ouai, on veut toujours me la prendre, et je l'aime bien la télécommande. Je regardais un match de Basket-Ball opposant les San-Antonio Spurs aux Los-Angeles Lakers, très grand match attendu de tout les fan de ce sport, je ne suis pas spécialement fan, mais c'est un grand match de NBA. Personnellement, je suis pour les Spurs, j'aime beaucoup leurs joueur, je les trouves très bon. En plus, l'un d'eux, Duncan, me fait penser à moi, il est grand et bien baraque, un monstre quoi. Un autre, Parker me fait penser à Alice, il est tout petit mais très très bon. Et enfin, un dernier, Ginobili, me fait penser à Jasper, discret mais très très fort et un des meilleurs joueurs. À eux trois, il forme un des meilleurs trio de toute la NBA.

La solitude était pour une fois quelque chsoe de bénéfique, j'observais ce match en me concentrant. Les Spurs menaient 55 à 46 à la fin de la mi-temps. Il y avait beaucoup de jeu, mais ils faisaient preuve d'une incroyable défense. Je posais la télécommande sous peine de la casser quand j'entendis un bruit que j'aimais beaucoup, accompagné d'une odeur que j'appréciais encore plus. C'était des talons hauts avec une démarche familière accompagné de l'odeur de la plus belle des femmes que je connaisse, Rosalie, ma femme soit disant passant. Je restais assis car je savais très bien qu'elle savait où j'étais, je pu donc murmurer tout doucement...

-Je suis ici... Ma voix était toute douce mais je savais pertinemment qu'elle m'entendait.

Assise sur le canapé dans leur chambre, Rosalie se regardait dans le grand miroir en face d'elle. Elle venait de rentrer de la chasse et était passée par la fenêtre de leur chambre. Elle se trouvait belle, certes, mais elle n'aimait pas trop la personne qu'elle devenait peu à peu. Elle avait vraiment du mal à accepter que Bella rejoigne la famille. Tout le monde lui accordait une attention particulière, et puis Alice s'était vraiment rapproché d'elle. Rosalie se sentait un peu à l'écart maintenant, comme si une autre avait prit sa place au sein de la famille.. Et puis le fait qu'Edward la veuille elle, pas Rosalie, cela la mettait vraiment mal à l'aise. Elle ne voulait pas être avec Edward, loin de là, elle aimait Emmett plus que tout, mais le fait qu'un homme la repousse l'attristait. Elle soupira un peu. Peut-être qu'au fond Bella ne voulait pas prendre cette place, mais prendre une place bien à elle. Tant de questions .. Mais elle pouvait toujours compter sur la présence d'Emmett, lui la comprenait un peu et la soutenait toujours, bien évidemment. Elle se leva de son canapé puis se dirigea vers le salon, elle venait d'entendre le match de Basket Ball qui s'y déroulait. Emmett était bien à la maison.

Arrivée au salon, elle entendit la voix d'Emmett. Elle souria et se dirigea vers le canapé. Elle s'y assit et se colla contre son mari, puis posa la tête sur son épaule. Elle resta un moment sans rien dire, à regarder elle aussi le match alors qu'elle n'y accordait pas très grande importance. Le basket, ce n'était pas trop son truc, elle préférait le base ball. Elle et les autres membres de sa famille faisait des matchs parfois entre eux, en plein coeur de la forêt. Ils ne jouaient que lors des orages. C'était des parties très mouvementées, et Rosalie n'aimait vraiment pas perdre. Mauvaise perdante, voilà un de ces innombrables défauts. Elle releva la tête et regarda Emmett.

- Dis, tu crois que je suis une fille horrible et sans coeur ?

Elle rigola au mot sans coeur. Ce n'était pas un mot a dire dans leur cas. Les Vampires n'avait plus le coeur qui battait, il était glacé à jamais. Mais bon, elle pensait qu'Emmett aurait comprit le sens du mot.

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Je la vis s'approcher de moi et se coller contre mon corps, pour finalement poser sa tête contre mon épaule. Elle était très douce, et sa peau me donné des frissons. Je ne comprenais pas pourquoi, voula près de cent ans que je connais Rosalie et pourtant à chaque fois que ma peau rentre en contact avec la sienne, une sensation bizarre m'envahie le corps en entier. C'est marrant, et ala fois effrayant. Comment est-ce possible, qu'après tant de temps, elle me fasse toujours le même éffet En même tant, elle est si magnifique et si gentille. C'est pour cela que sa question me surpris, elle voulait savoir si elle était une fille horrible et sans coeur. Elle !!! Une fille horrible et sans coeur ? Rigoles-en tant que tu veux, c'est ce qu'elle m'a dit. C'est d'ailleurs étonnant que cela ne me fasse pas rire. Mais pourtant, je n'ai pas réfléchie, et je lui ai répondu avec un sourire en coin.

-Horrible, tout est relatif, si par-là tu veux dire qu'une fille somptueuse, adorable, gentille et surtout une fille agréable est une fille horrible, alors oui, tu es horrible. Ensuite, une fille sans coeur, si tu veux savoir, pour moi une fille sans coeur est une fille qui ne tient ni à sa famille, ni même à son mari.

Je repris la télécommande, pour baisser le son. Le match reprennais, les joueurs étaient assez bon, des fois, en regardant le match, je me rendais compte que c'est facile d'oublier qu'on est un vampire. Los Angeles revenait au score, c'est ce que me fit sourire, chez nous, les vampires, la fatigue n'existe pas, donc qi on mène au score, on mène quasiment tout le long du match. Evidemment, nous ne sommes pas comme eux, et chez nous, tout le monde peu dunker, tout le monde mais des trois points, c'est trop facile à faire. Nous sommes des vampires, nous sommes comme je l'ai toujours dit, supérieur, en beaucoup de chose. Mais, j'aime beaucoup ce sport quand même. Mon bras passa autours des épaules de la jeune femme et je déposais un petit baiser sur le haut de son crane. Et je sourit.

-Et puis, si tu étais horrible, je ne t'aurais peut-être pas choisi, voyons.

Elle regarda toujours son compagnon. Il se mit à la regarder et lui répondit avec une certaine sincérité. Rosalie afficha cette fois-ci un grand sourire. Normal qu'il dise ça, c'est sa femme après tout, mais à chaque fois qu'il lui fais un compliment elle est vraiment touchée. C'est si rare que quelqu'un lui dise des choses comme ça, tout le monde la voit différemment par rapport à Emmett, mais bon elle avait l'habitude et aucune critique ne la contrarie, loin de là. Il baissa le son de la télé et il mit un bras autour de ses épaules. Elle remit sa tête sur son épaule et il lui fit un baiser sur le sommet de son crâne. Elle se sentait tellement bien avec la présence de son mari, il la réconfortait toujours et cherchait toujours un moyen de la comprendre. Elle ne méritait pas autant, au fond elle savait qu'elle pouvait le decevoir sur pas mal d'autres choses. Depuis le temps qu'ils se connaissaient, il ne lui avait encore jamais fait aucun reproche, elle était tellement reconnaissante face à lui, il était si attentionné.

- J'ai tout de même l'impression d'être vraiment méchante avec certaines personnes, comme avec Bella par exemple ..

Emmett le savait bien, mais la non plus il ne lui avait jamais rien reproché. Elle n'avait jamais osé lui faire par du pourquoi elle pouvait ne pas trop aimer Bella, surtout que sa pouvait le blesser. Isabella Swan était une jeune fille bien, elle n'avait rien demander ni rien dit à Rosalie pour qu'elle puisse avoir des difficultés a communiquer avec elle. Elle souhaitait que sa change, qu'il n'y ait plus cette tension entre elles deux, mais elle ne savait pas comment. Rosalie avait prit l'habitude d'être un peu le centre du monde, et la elle se prend la tête avec le fait que Bella puisse prendre sa place, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser cela d'elle. Ce qu'il faudrait, c'est qu'elle passe un vrai moment avec elle pour discuter.

- Je t'aime.

Elle releva de nouveau la tête et déposa ses lèvres sur les siennes.

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Elle m'observait, elle était magnifique (elle l'est toujours), et je fut pris d'une sorte de chaleur qui est inconnu à un vampire, normalement. Pourtant, je n'étais pas fou, je savais très bien ce que je ressentais à ce moment là. Enfin bref, je la voyais et j'avais l'impréssion d'elle souffrait également, et cela me rendait plus que triste. Je ne voulais pas la voir malheureuse, je suis peut-être trop attaché à elle me dirait-on, et bien oui, et je l'assume. Je l'aime et c'est comme cela. La voir souffrir, c'est pire que la souffrance que l'on ressent lors de la transformation. J'ai horreur de cela, je préfererais me rentransformer mille fois au lieu de voir cela. Voir plus. Elle me dis qu'elle trouvait qu'elle était trop méchante avec Bella, je l'avais dans un coin de ma tête toujours un peu pensé, après tout, j'aimais beaucoup Bella, l'humaine qui rougit, comme j'ai toujours dit. Sans elle, notre séjour à Forks aurait été vraiment ennuyait, alors que grâce à ma belle-soeur, on a pu tué du monde, on a pu se venger de Victoria, on a pu détruire une horde de nouveau-née, on a pu réunir un grand nombre de vampire pour affronter les Volturi, s'était génial, en deux ans, nous avons vécu plus de chose que tout les Volturi dans leurs vies, c'est donc dire... Mais je soutiens pourtant toujours Rosalie, c'est ma femme et je l'aime.

-Si tu crois être mauvaise avec Bella, pourquoi ne pas être tout simplement amie avec elle. Cela ne te demandera pas beaucoup d'éffort, et je suis sûr qu'Esmé, Carlisle et Edward apprécieraient ce geste de ta part. Tu ne te rends pas compte à quel point Esmé aimerait nous voir tous uni comme les doigts d'une mains. Cela me faisait du mal de faire la moral à Rosalie, mais pourtant, quand on aime une personne, il faut aussi lui dire ce qui n'ai pas forcement bon à attendre. Et je suis sûr que tu pourrais l'apprécié, avais-je terminé avec un sourire.

Je regardais encore le match, ils faiblissaient énormément, du côté des deux équipes. Il y avait certaine personne qui, si elles étaient des vampires, sera incroyable. Genre, quand on voit la détente actuelle de Kobe Bryant, on se demande forcement se que ça donnera avec un vampire. Et, quand on voit l'agilité de Tony Parker, on se pose forcement des questions. Après tout, nous avons tout le temps de nous les poser. Mais main commenca à caresser le bras de Rosalie, sa peau était douce, pour moi bien évidemment, un simple humain, aurait réagi autrement. Elle me dit qu'elle m'aimait.

-Mais, ça tombe bien, moi aussi... Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'elle colla ses lèvres sur les miennes. Je me laissais faire, au contraire même, je l'approchais de moi, nos corps était comme émanté, et il n'y avait aucun creux entre nos deux ventre, nous étions collé.

Elle regardait la télévision, enfin très vaguement, tout en écoutant Emmett. Elle ne pouvait pas le contredire, il avait toujours raison. Esmée aimerait vraiment qu'ils forment tous une belle et grande famille, qui pourrait s'entraider dans n'importe qu'elle situation. D'un côté aussi, elle s'entendrait un peu mieux avec Edward, qui lui n'arrive toujours pas à digérer le fait que Rosalie puisse ne pas aimer sa chère et tendre. Il avait du lire dans ses pensées, il avait du comprendre pourquoi, mais il était vrai qu'elle devait passer à autre chose maintenant, il fallait qu'elle voit Bella sous un autre jour et non pas comme elle la voyait maintenant, une fille qui s'incruste dans la famille en quelque sorte. Emmett adorait sa petite soeur lui aussi, tout le monde l'apprciait, alors pourquoi pas Rosalie ?

- Je crois que tu as raison, une fois de plus.

Elle abordait son joli sourire.

Je pense que je me sentirais moi même beaucoup mieux et elle je pense qu'elle se sentirait plus à l'aise si je pouvais l'aimer comme une soeur.

Après tout, personne ne lui demandait de faire plus, mais il fallait qu'elle accepte le fait que maintenant, Bella faisait partie de la famille et qu'elle ne pouvait rien y changer. Si cela faisait le bonheur d'Edward, alors cela devait aussi faire son bonheur, car elle l'aimait vraiment son frère et elle ne voulait pas le blesser davantage en detestant completement Bella.

Lorsqu'elle embrassait son mari, elle oubliait tous ses problèmes du quotidien et se laissait completement aller. Il la rapprocha davantage de lui et ils furent collés l'un à l'autre. Rosalie passa doucement la main dans les cheveux d'Emmett, lui ébourrifant au passage. L'autre main vint se placer sur sa hanche. A chaque baiser, c'était toujours la même sentation: la passion. Tout moment de tendresse avec lui était un moment de bonheur. Elle se recula un peu et le regarda dans les yeux, son sourire angélique en coin. Elle lui caressa la joue.

- Merci pour tout ce que tu fais pour moi, pour ton soutien chaque jour qui passe. Tu ne pourrais pas me rendre plus heureuse que je le suis en se moment même.

Elle se blottit dans ses bras.

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Elle admetait que j'avais raison, c'est un bon début après tout, ce n'est pas en prenant compte de ses erreurs qu'on avance ? Je le pense personellement. Et je suis sûr qu'en avancant un peu, Rosalie pourrait devenir une bonne soeur pour Bella. C'est ce que nous demandons tous après tout, une bonne entente dans notre famille, qui voudrais plus que cela. Moi, ça m'irai, je suis sûr qu'à Edward aussi, et ne parlons pas de mes "parents"... Il fallait également qu'elle comprenne que, hormis pour moi, elle n'est pas le centre du monde. Je dis bien hormis pour moi. Il est évident, que je n'envisage pas ma vie sans elle. Même pas du tout. Et je pense que j'aurais la même réaction qu'Edward si jamais elle venait à mourire, j'irai surement rencontrer les Volturi, même si cela ferais trop souffrir ma famille, je ne pourrait vivre sans Rosalie, inconsevable. Completement inconsevable. Je crois que je ne tiendrais pas beaucoup de temps sans elle. Une journée serait beaucoup, trop. Mais bon, là, elle est là c'est ce qui importe.

-C'est tout ce que je te demande, si tu ne le fais pas pour Edward ou Esmé, fais le au moins pour moi, s'il te plait, avais-je dit en la regardant avec des yeux implorant, je métrisais très bien ce regard.

Elle commencait à comprendre que Bella était sa soeur maintenant, qu'elle était un membre à part entière de la famille et que parce qu'elle était nouvelle, il fallait l'éloigner, ce que je n'avais par ailleurs jamais fait. Pour moi, elle était dès le début ma petite soeur qui rougit facilement. Et malheureusement, elle ne l'est plus. J'aimais tant pouvoir al faire rougir ou pouvoir la charié sans ne rien craindre. C'était le bon vieux temps comme je dirais.

Ses levres étaient tellement douce que cela m'aurait donné des frissons si je pouvais en avoir. Mais malheureusment, non. J'avais simplement un sensation d'oublie, le monde ne tournait plus qu'autours d'elle, comme je l'avais toujours cru. Elle est mon élement, sans elle, je ne suis rien. Ma vie na pas d'interet. Son odeur m'empechait de l'éloigné de moi, j'étais tellement bien. Plus rien ne comptait. Je sentis sa main dans mes cheveux puis une autre sur ma hanche. Les miennes était placé, une sur son dos, l'autre sur sa jambre qui était si douce. Elle s'éloigna doucement de moi. J'en aurais voulu plus, mais ne vaut mieux pas l'enerver, pas une bonne idée, quoiqu'elle ne s'est que rarement énervée sur moi. Sa main passa sur ma joue, j'attrapis celle-ci et y déposais un leger baiser deçu. Elle me dit qu'elle ne pourrait être plus heureuse que maintenant, pourtant s'était faux, je savais pertinemment qu'il manquait quelque chose dans sa vie.

-Si s'est réelement le cas, alors j'en suis plus que ravi. Mais, pourtant, je suis sûr qu'il te manque quelque chose. Rosie, pas besoin de lire dans tes pensée, je te connais mieux que personnes, Edward mis à part. Je sais que tu voudrais plus et que moi, je ne peux te le donner. À cause de ce que je suis, de ce que nous sommes.

Plus elle l'écoutait, plus elle se disait qu'elle avait vraiment été injuste envers sa jeune soeur. Il est vrai qu'elle ne demandais qu'a être acceptée et faire partie de la famille. Rosalie soupira légèrement et prit les deux mains de son compagnon. Elle entremêla ses doigts aux siens et grimaça un peu. Elle irait parler à Bella dès son retour, elle lui parlerait de ses craintes avec elle et lui dirait que dans le fond elle l'aime bien. Voilà, ceci était décidé. Emmett lui parla ensuite d'elle, du fait qu'elle n'était pas si heureuse qu'elle l'entendait. Elle se mordit la lèvre et regarda son mari dans les yeux. Il était vrai qu'il manquait quelque chose, mais jamais elle n'aurait pensé qu'il le devinerait. Avait-elle fait quelque chose de travers pour qu'il le devine ? Si elle pouvait pleurer, il y aurait eu déjà plusieurs larmes qui seraient coulées le long de ses joues. Elle lâcha les mains d'Emmett et s'enfonça dans le canapé, baissant la tête. Oui, il manquait quelque chose dans sa vie, quelque chose qu'elle ne pourrait plus jamais avoir. Elle avait si longtemps espérée en avoir un lors de sa vie humaine, mais elle n'a jamais pu. Elle passa sa main dans ses longs cheveux blonds. Une petite créature à aimer, à éduquer, à câliner.. Voilà ce dont elle avait besoin maintenant. En devenant vampire, tout c'est figé en elle et elle ne pourrait jamais avoir d'enfant. Elle le sais, mais chaque jour elle espère comme même. C'est maintenant son rêve le plus cher, mais elle ne pourra jamais l'exaucer. Elle était heureuse avec Emmett, ça elle en était sûre, mais un enfant lui manquait.

- Jamais je ne pourrais vraiment être heureuse en faite. Tu fait mon bonheur, mais tu sais bien ce qu'il me manque. J'ai toujours voulu être mère, quand je voyais ma meilleure amie avec ses enfants, son mari, tout cela faisait vraiment rêver. J'ai toujours eu l'espoir d'avoir un jour la vie qu'elle menait, mais maintenant c'est trop tard..

Elle regarda Emmett, mais elle n'avait plus le sourire sur ses lèvres. Elle s'en voulait de lui faire tant de mal à cause de ses rêves, mais cela lui faisait du bien de partager ça avec son mari. Il l'aimait plus que tout, il lui avait tellement dit. Elle aussi l'aimait, mais elle avait au fond d'elle toujours ce vide. Edward avait du faire part à Emmett de mes pensées un jour, car le fait d'avoir un enfant occupait la plupart de ses pensées.

- Mais je ne veux pas te faire souffrir à cause de ça, je ne veux pas te voir malheureux parce que tu ne peux pas me donner ce dont j'ai besoin. J'arrive à vivre avec..

Là, elle mentait. Non, elle n'y arrivait pas du tout.

- Le fait que tu m'aime et que tu sois si attentionné avec moi me comble déjà suffisamment de bonheur.

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J'avais visiblement touché juste, il lui manquait vraiment quelque chose, et je savais quoi. Un enfant, il lui fallait quelque chose de plus, elle ne voulait pas vivre à deux, mais à trois. Avec un enfant, elle avait eu une compensation certes, par l'intermédiaire de Renesmée, mais, en revanche, il ne s'agit pas de son vrai enfant, une compensation est différent de ce qu'elle à vraiment. J'aurais tellement aimé pouvoir la rendre heureuse, j'aurais tellement aimé pouvoir lui faire un enfant. J'aurais aimé pouvoir la faire redevenir humaine, quitte à ce que je parte, quitte à ce que je ne la vois plus. La voir heureuse est pour moi une priorité, elle n'a surement pas vu le regard qu'elle a quand elle voit une famille avec leurs enfants. Elle ne sait surement pas que je sais vraiment ce qu'il lui manque. Elle lacha mes mains et s'enfonça dans le canapé. Je voulais presque la rattrapé, mais je pensais qu'il vallait mieux lui laisser faire comme elle veut. Elle m'expliqua legerement se qu'il lui fallait.

-Tu sais que je t'aime autant que tu m'aimes, voir plus. Je te promets que s'il y avait un moyen, tu serais redevenu humaine depuis longtemps quitte à ce que j'y laisse ma propre "vie". Je suis tellement désolé pour toi.

J'étais sûr qu'elle pensait que s'était Edward qui avait vendu la mèche car il le savait mieux que quiquonc, elle veut un enfant, plus que tout. Elle serait prête à tout. Et je ne pouvais la satisfaire de ce plaisir. Je ne le pouvais absolument pas. Et cela m'attristait énormement.

-Ne me prends pas pour un abruti Rosalie, je te connais mieux que personne, peut-être mieux que toi même. Je sais que tu as du mal, mais je t'aime quand même. Et je ferais le maximum pour te faire oublier ton soucis. Et je veux t'aimer, et je t'aime autant que toi tu m'aimes. Je ferais le maximum. Je donnerais ma vie pour te faire plaisir. Avais-je dit en la prenant dans mes bras pour la consoler. Je m'emparrait également doucement de ses lèvres.

Comment pouvait-il dire ça ? Sacrifier sa vie pour elle ? Elle lui lança un regard noir. C'était gentil, certes, mais elle ne voulait pas l'entendre dire ça. Avant, ces paroles elle les prendrait au mot, elle laisserait tout tomber pour redevenir humaine, mais maintenant elle ne pouvait plus penser ça, Emmett avait presque tout donné pour elle, elle ne pouvait plus le faire souffrir davantage. Elle s'était rendue compte à quel point elle était égoïste, elle ne pensait qu'a elle, qu'a son bien être et ne se souciait guère de celui des autres. C'était en quelque sorte grâce à Bella qu'elle s'était remise en question. Quand elle avait sauté de la falaise, Edward était prêt à mourir car il ne voyait plus sa vie sans elle. Rosalie n'aurait jamais fait ça elle, elle aurait peut-être été malheureuse mais elle n'aurait pas eu le courage qu'avait eu Edward. Elle se sentait mal, elle avait presque tout ce dont elle souhaitait, mais elle se plaignait comme même. Elle avait le regard vide à présent.

- Je ne veux pas, jamais tu ne te sacrifira pour moi. Je sais que j'ai été égoïste, j'aurais tout sacrifié pour redevenir humaine, mais à présent je vois mieux les choses. Toi, tu me donne tout ce dont j'ai besoin, seulement tu ne peux pas me donner une seule chose. C'est peut être important pour moi d'être mère mais comment pourrais-je sacrifier l'homme que j'aime ?

Elle regarda droit dans les yeux son mari. Elle ne donnait pas l'impression d'être sincère, mais elle croit tout au fond d'elle qu'il la voyait comme telle à présent, une fille avec un "coeur".. Elle savait qu'elle avait fait beaucoup d'erreurs, tout au fond d'elle il resterait toujours une part importante d'égoïsme, mais elle ne voulait plus en faire part, elle ne voulait plus être la fille qu'elle avait été tout au long de ces années.

- Je me suis montrée horrible avec beaucoup de monde, je sais que je t'ai blessé beaucoup de fois, crois tu que je pourrais encore te faire ça ? Je pourrais m'occuper d'enfants, peut être pas en avoir mais jouer les baby-sitters en quelque sorte. Je me sens vraiment ridicule là..

Elle soupira. Il est vrai qu'elle avait du mal à exprimer ce qu'elle ressentait au fond, elle n'était pas du genre à étaler ses sentiments comme ça. Elle se sentait horriblment gênée.

- Je ne sais pas comment je pourrais te dire les choses.. Bon en faite mon but principal serait d'avoir un enfant mais puisque je ne pourrais jamais, il faut que j'arrête de me torturer avec ça. Je t'ai toujours fait passer en deuxième, je m'en veux vraiment, mais maintenant je ne veux plus que ton bonheur. J'en ai marre que tu te sacrifie pour moi, pour me rendre heureuse alors que je ne te rend pas la pareille. Comme je te l'ai dis, je pourrais très bien m'occuper d'enfants, je sais contrôler ma soif maintenant.

Il l'a prit dans ses bras et celle ci s'y logea volontiers. Elle en avait un peu marre d'elle. Elle se serra davantage à lui.

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Je l'observais, visiblement mon intervention ne lui avait pas plus, elle ne voullait pas que je donne ma vie pour elle. Elle sait très bien que, son bonheur passe avant le miens, tout d'abord parceque j'ai beaucoup moins de besoin qu'elle. Je suis un simple vampire qui n'a pas beaucoup de besoin. Boire, rigoler, m'amuser. Je n'ai pas énormement de besoin autre. Hormis Rosalie que je ne considère pas comme un besoin mais comme bien plus. Elle est indispensable à ma vie. Completement. Ce que je ne comprenais pas c'est qu'elle ne voulait pas me laisser la rendre heureuse. Elle ne se rends don pas compte que, si elle est heureuse, je serais l'homme le plus heureux du monde, même si elle ne l'est pas avec moi. Son bonheur passe avant tout, même avant le mien, étant celui-ci assuré. J'étais heureux et je ne demandais rien de plus. Elle ne voulait pas que je me sacrifie pour elle, je lui donne apparement tout se don elle a besoin si c'est réelement le cas, je trouve cela parfait, mais elle ment plutôt mal. Elle me demandait comment elle pourrait sacrifié l'homme qu'elle aime, pour moi la raison était simple. Elle disait qu'elle ne voulait plus que mon bonheur.

-Ton bonheur fait le mien, avais-je dit tout doucement la laissant continué.

Elle m'éxpliqua qu'elle pouvait faire du baby-sitting. Je sais qu'elle n'y arriverait pas, elle ne pourait quitter l'enfant après. C'en est à cent pour cent sûr. Elle se bloti encore plus dans mes bras. Et je la serrais de plus en plus contre moi, l'odeur de ses cheveux me donna une sorte de vertige, ça sentait très bon, magnifiquement bon même. Elle parlait que je ne me sacrifie pas pour elle, je trouve que le mots sacrifié est un bien grand mots.

-Sacrifier, je ne suis pas d'accort. Pourtant, sacrifié est avoir un regret, pourtant, je n'aurais aucun regret à te rendre heureuse, au péril de ma vie. Et tu le sais.

Je posais ma tête sur la sienne, carressant doucement son bras, de haut en bas. Sa peau était très douce et agréable au touché. C'était très très agréble. Et je me serrais encore plus contre elle. Cherchant ses mains, que je fini part trouver, je "rangis" mes mains dedant, les entreméllant aux siens. Elle ne me quiterrait pas comme cela.

Rosalie était toujours dans les bras de son homme et celui-ci était vraiment calme. Il lui caressait doucement le bras, posa sa tête sur la sienne et lui prit ses mains. Elle ne savait vraiment pas ce qu'elle ferait sans lui à présent, il lui disait tellement de choses que personne ne lui disait jamais, il la soutenait tellement, il ne voulait que son bonheur. "Ton bonheur fait le mien". Cette phrase lui trottait toujours dans la tête. Elle était heureuse qu'il dise ça, c'était toujours agréable d'entendre ça de la part de la personne la plus chère qu'elle est sur cette terre. Il pourrait tout faire pour la rendre heureuse. Elle serra les mains de son mari et releva la tête pour qu'ils soient face à face.

- Le simple fait que tu me supporte me suffit largement tu sais.

Elle sourit puis rigola légèrement.

Il y a toujours Nessie, je peux m'occuper d'elle, même si je ne suis pas sa mère. Jamais je ne le serais mais je peux essayer de bien jouer mon rôle de tante.

C'est vrai que Rosalie s'était toujours bien occupée de Renesmée, elle s'en était occupée comme si c'était sa propre fille, bien que se ne soit pas pareil. D'un côté, le fait que Renesmée soit dans la famille avait en quelque part soulagé une part du vide en elle, Emmett avait du le remarqué comme même.

- Quoi qu'il en soit, le fait que tu veuille mon bonheur me fait plaisir, pour ne pas être trop égoïste. Je ne veux plus avoir à l'ancienne Rosalie qui faisait tout pour parvenir à ses fins, après tout personne ne peut avoir tout ce qu'il souhaite, moi j'ai déjà une chose que les autres n'ont pas: toi.

Elle le regarda, le gratifia d'un sourire et se rapprocha de lui. Elle posa ses lèvres sur les siennes et essaya de libérer ses mains de l'emprise d'Emmett. Elle posa alors l'une de ses mains sur la joue de son mari et l'autre derrière sa tête. Cette fois ci, le baiser ce fut beaucoup plus intense et elle ne voulait plus s'écarter de lui. Elle interrompit le baiser quelques secondes pour se lever sur le canapé et venir s'installer sur le genoux d'Emmett. Elle caressa longuement sa joue et se repencha vers lui pour l'embrasser de nouveau.

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Sa peau était agréablement douce, énormement douce. J'aurais pu rester comme cela pendant des années. Je me sentais bien, elle était là, et moi aussi, que demander de plus ?!? Mes mains emprisonné dans les sienns était tellement collé que je sentais presque de la chaleur, une illusion, certes, mais ça avait l'air réel, avec le temps, je n'ai jamais disséré, la moindre trace de chaleur, il faut bien que cela commence un jour, non ? Elle était la chose la plus importante sur cette terre pour moi, et je ne pourrais me lasser de la voir, je ne pourrais me lasser de l'embrasser, je ne pourrais me lasser de sentir son odeur. Elle était comme une drogue pour moi, mais une drogue agréable et pas dangeureuse. Si être accro était une maladie, je serais malade de Rosalie. C'est sûr. Je donnais un leger coups d'oeil à la télévision, le match touchait à sa fin et les Lakers gagnait maintenant, les boules... Alors comme cela, le simple fait que je la supporte lui suffisait, mais je voulais faire plus moi. Je ne marrêterais pas à la supporté, je fais cela sans difficulté, attends. Moi, c'est plutôt le fait de l'aimé et d'être aimé par elle qui était important, d'une importance primordiale à mes yeux... Elle m'observa pour me dire que Nessie lui suffirait, qu'elle ferait une bonne tante.

-Tu es doué en tout, tu sais...

Ce qu'elle dit par la suite me fit énormement plaisir, elle disait qu'elle avait une chose que les autres n'ont pas, moi. C'était vrai, mais comme j'ai toujours dit, l'amour ne se mesure pas. Sinon, il nous faudrait une barre gigantesque pour pouvoir calculer l'amour que chacun porte à sa femme, surtout chez les Cullen. C'est plutôt, fort. Voir même plus. Ses lèvres toucherent les miennes, sauf que cette fois-ci, nous resistâmes pas l'un à l'autre, aucun de nous ne recullait. Elle reculla que quelque seconde pour se mettre sur mes genoux, elle passa legerement sa main sur ma joue et m'embrassa. Mes mains passerent sur ses reins, et la collait encore une fois contre moi. L'empechant presque de partir. Je posais ma bouche sur son coups, y déposant des baiser, tendre et long. Se moment était calme, et j'était heureux que le reste de la famille ne fussent pas là... Entre deux baisers, je recullais doucement.

-Je t'aime Mme. Cullen, puis je retournais sur son coup avec la même douceur.

C'était un moment exquis. Rosalie ne l'échangerais pour rien au monde, elle se sentait heureuse en ce moment là, elle aimait le fait d'être autant désirée comme la désirait Emmett. Elle n'était plus tendue, elle se laissait allée complètement. Il l'embrassa alors dans le cou, elle aurait frissonné comme une folle si elle aurait pu. Il se recula quelques instants pour lui dire qu'il l'aimait puis se remit à l'embrasser tendrement dans le cou. Elle souria et posa ses mains autour de sa nuque et lorsqu'il se recula à nouveau, elle l'embrassa avec fougue. Lorsqu'ils étaient partis à ces choses là, cela pourrait durer des jours voir des semaines sans s'arrêter. Et oui, le fait d'être un vampire présentait vraiment de nombreux avantages, car ne pas dormir pouvait leur permettre de rester longtemps à leurs petits jeux sans s'arrêter. Elle s'arrêta deux secondes et le regarda dans les yeux, ses mains se baladant dans ses cheveux.

- Tu m'aime, je t'aime .. C'est pas magnifique tout ça ?

Elle lui fit un immense sourire angélique et l'enlaça. Depuis qu'elle le connaissait, elle avait eu toujours cette petite flamme en elle, elle avait tout de suite su qu'ils étaient fait pour être ensemble. Ils avaient vécu tant de choses tous les deux, elle ne pouvait désormais plus se passer de lui. Lorsqu'il était près d'elle, elle retrouvait une certaine confiance en elle.

- C'est vraiment bête à dire, mais tu me procure comme une sorte de chaleur en moi ..

C'est vrai que c'était un truc débile à dire, mais elle s'en fichait. Elle déplaça ses mains de haut en bas le long du dos d'Emmett.

- Et puis là, tu me donne vraiment envie..

chuchota-elle à l'arrière de son mari.

Elle rigola très faiblement et se mit à mordiller son oreille.

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Sa peau était tellement douce, je n'arrivais pas à la quitter. La serrant contre moi, c'était un instant simple et pourtant si compliquer à définir. Chez certaine personne, l'amour se représente de manière différente. Chez les vamoires, c'est pareil. Nous sommes tous différent physiquement, mais surtout psychologiquement. Voilà pourquoi, ma representation de l'amour est bien différente de celle de Jasper. C'est ainsi que moi, je dois être présent mentalement, mais surtout physiquement avec ma femme. Je ne peux m'empecher de la serrer dans mes bras, de l'embrasser. Tout cela peut varier selon les croyance, selon l'attachement, selon l'éducation et bien d'autres facteurs. C'est pourquoi, plus je connais Rosalie, plus je me rends compte que j'ai du mal à méloigner d'elle. C'était devenu comme une nécessiter d'être près d'elle. Comme si elle était mon air, mon oxygene, mon coeur... Je ne pourrais plus m'empecher d'être avec elle, point !

Elle me lançait des fleurs, interressant, j'aimais beaucoup son humour. J'aurais été capable de lui dire cela. Surtout dans un moment pareil, ce qu'on pourrait parfois appeler un "tue-l'amour". Mais l'humour faisait parti de notre relation donc, je ne pourrais pas lui en vouloir étant donné qu'il m'arrive d'en faire même. C'était comme cela entre nous, ce qui m'a toujours surpris, énormement même. Elle me dit de jolie chose et ce qui me surpris, c'est qu'elle dise la chose que j'attendais. Elle se dirigea vers mon oreille. Un instant, rien qu'un, nous ne faisions plus qu'un. Je pris ses cheveux entre mes mains, ils sentaient si bon, c'était agréable. Je me réamparais de ses leres, glissant mes mains sur son dos, mais sous son corsage cette fois-ci. Sa peau était douce et tiède. Aucune impurté sur sa peau. Elle était magnifique tout simplement. Et en plus de cela, elle était mienne. Comment pouvoir expliquer le fait qu'elle m'est choisi, moi, et pas un autre ? C'était un fait indéniable. C'est ainsi et la vie continue. Ma main gauche elle, attrapa son visage et se glissa sous ses cheveux tandis que je l'éloignais legerement avec un signe d'excuse, une question me trottait dans la tête.

-Je suis désolé, j'ai des fois l'impréssion que tu m'aimes trop et que tu as trop confiance en moi. J'ai peur de te décevoir. Je t'aime trop pour te faire du mal. Cela me détruirait.

Ce qui était vrai, je l'aimais à un tel point que la rendre malheureuse me serait trop horrible. Ce serait quasiment de l'auto-flagelation. Si je lui faisais du mal, j'aurais aussi mal qu'elle, voir plus. Sa vie avait pris une telle place dans la mienne que si elle partait, mon coeur, ma vie la suivrait. Ma "vie" serait terminé sans elle. Je ne serais plus rien, juste un coprs sans vie, sans âme. Juste mon corps laissé à l'abandon par la chose la plus importante pour lui. Par son second, son jumeau, son autre. Je m'excusais encore une fois d'avoir rompue ce si magnifique moment, mais je voulais savoir...

Tout doucement, il glissa ses mains dans les cheveux de Rosalie. Elle ferma les yeux et sourit, c'était agréable. Même pour un vampire, toutes les sensations de ce type là se sentaient, même davantage parfois. Ils se connaissaient par coeur tous les deux, et dans le moindre détail. Emmett promena ses mains le long de son dos, glissant sous son corsage. Ils s'embrassaient à nouveau, quel merveilleux moment qu'ils partageaient à ce moment là. Se n'était pas le premier certes, mais elle se sentait tellement bien, épanouie dans ses bras. Les mains de Rosalie encerclèrent le visage de son mari, tandis qu'elle continuait de l'embrasser passionnément. Puis, alors qu'elle ne s'y attendait pas, il s'aida d'une de ses mains et l'éloigna doucement de lui. Sur le coup elle ne comprit pas et le regarda avec des yeux ronds puis leva un sourcil. C'était étonnant de sa part ça. Elle ne chercha pas longtemps à comprendre, Emmett se mit à parler. Elle l'écouta et ne savait vraiment pas quoi dire. Pourquoi disait-il cela maintenant ? Elle ne comprenait plus rien, elle se demandait surtout pourquoi il lui disait ça. Qu'avait-il en tête ? Elle resta figée pendant de longues minutes, à le regarder, puis elle ferma les yeux.

- Je me demande vraiment pourquoi tu me sors ça, et surtout maintenant.

Elle rouvrit les yeux doucement et le regarda d'un air indéfinissable.

Je t'aime oui, j'ai aussi confiance en toi, mais en quoi tu me décevrais ? Je ne comprend vraiment pas pourquoi tu as peur de me faire du mal.. Tu as quelque chose à me dire, à me faire comprendre derrière ces phrases ?

Elle était perdue. Elle ne savait plus quoi pensé. Mais pourquoi il avait peur de la décevoir ? Jusqu'a présent, il ne l'avait jamais fait et ne voit quand il pourrait le faire. Il lui a donné tout ce qu'elle avait besoin jusqu'à présent, ou presque. Jamais elle n'avait aimé un homme autant que lui, elle en était certaine. Évidemment qu'elle l'aimait, mais pourquoi disait-il "J'ai l'impression que tu m'aime trop et que tu as trop confiance en moi" ? C'était incompréhensible, enfin pour elle du moins. Elle continua à le regarder, attendant des explications de sa part.

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Je la vis stopper net, c'est vrai que mes phrases n'était pas sorti au très bon moment. Je crois que dire ce que j'ai dit n'était peut-être pas la meilleur idée, surtout dans le cas présent. J'aurai très bien pû attendre un autre moment. Mais ses phrases montraient parfaitement sa confiance en moi, et je ne peux me permettre de lui faire du mal pour une si mauvaise raison. Je sais très bien que, faire confiance en un vampire ne s'avaire pas toujours une très bonne idée. Surtout moi, je crois, j'en suis sûr que j'ai beaucoup de défault et que ceux-ci pourrait faire du mal à Rosalie, cela, je ne me le permettraits pas. Je ne peux absolument pas faire du mal à Rosalie, même si ce que je venais de dire semblait le faire. Une grimace s'afficha sur mon visage. Et malheureusement, je en pu retenir une exclamation de déspespoir. Je n'aurais jamais du dire cela, elle doutait de moi maintenant, voilà que de la confiance total, on était passé au doute. Je fais fort moi. Je devrais peut-être faire attention à ce que je dis...

-Non, je n'ai rien fait de mal, mais ce que tu m'as dit m'a fait pensé à une chose. Je remarque que tu as entierement confiance en moi et mes choix. Et je veux que tu saches que je suis loin d'être parfait. Je ne voudrais pas qu'une erreur de ma part te fasse du mal. Je m'en voudrais aussi longtemps que j'existe. Je t'aime trop pour te gâcher la vie. Je ne suis pas du genre maso, te faire du mal me ferait trop de mal à moi...

Mes yeux se poserent dans les siens, je pouvais parfaitement lire de l'imcompréhention, sans difficulté, mais pourtant, je ne cherchais pas cela, je cherchais à l'aimer, à pouvoir lui montré, qu'il n'y a pas qu'elle qui à des défault, je ne veux pas qu'un excet de confiance, nous emmenes à notre perte. Je ne pourrais pas rendre malheureuse la femme que j'aime. Je la serrais fort contre moi, comme pour lui montrer que je tenais à elle, plus qu'à tout. Je pense que je serais presque près à sacrifier le monde pour elle. J'en suis quasiment sûr.

Elle l'écouta et cette fois ci se calma un peu. Elle avait eu peur, peur qu'il dise quelque chose qui pourrait chambouler leur histoire à tous les deux. Elle se mordilla légèrement la lèvre, de toute façon elle ne pouvait pas se faire mal en faisant cela. En tout cas, ses paroles lui restait. Il avait peur de la blesser d'une façon quelconque, car il s'avouait qu'il avait lui aussi de nombreux défauts et qu'elle, elle le voyait un peu trop parfait. Il est vrai que Rosalie n'avait jamais fait beaucoup attention à ça, elle le voyait comme un mari avec beaucoup d'humour, joueur comme jamais et un mari vraiment attentionné. Voilà, elle ne voyait vraiment que ces trois gros points chez lui, elle n'avait vraiment fait attention à ses défauts. Peut-être était-elle trop aveuglée par l'amour ? Elle n'en savait rien, mais maintenant c'était le moyen de réfléchir sur ça. Emmett la regarda bien dans les yeux, celle ci leva une main et la posa doucement sur sa joue.

- Tu sais, je n'ai peut-être pas fait attention à tes défauts, mais c'est surement parce que tu ne les met pas en avant et que tu joue beaucoup sur tes qualités. Moi, je joue beaucoup trop sur mes défauts je crois, alors que toi je ne les ai jamais vu, et je t'admire beaucoup pour ça.

Elle était vraiment sincère. Elle, elle était vraiment possesive quand elle le voulait, et lui restait calme comme tout, il soutenait vraiment ses petites crises. Elle ne savait pas comment elle pourrait le remercier de tout ce qu'il avait pu faire pour elle, il était tellement bien .. Mais c'est vrai, personne n'est parfait, peut-être avait-il vraiment des défauts mais alors de tout petits, bien dissimulés. Elle le regarda d'un air tendre et caressa doucement sa joue. Elle savait qu'il ne lui ferait jamais de mal, et le fait qu'il dise que si sa arrivait un jour, il aurait vraiment mal, elle soupira. Elle ne voulait pas le faire souffrir non plus.

- Je ne pense pas que tu pourrais me blesser un jour..

Il la serra contre elle, elle le serra lui aussi. Elle déposa un baiser dans le cou de son mari et ferma les yeux.

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Ses paroles me toucherent, vraiment, j'étais pour elle, une homme bien. Je ne lui montrais pas mes défauts, enfaite, si, je les montrais, mais pour elle, ce ne sont pas des défauts. Le but de l'amour, car moi, je ne voyais pas vraiment de défauts chez elle. L'amour rend aveugle dit on souvent, je ne pense pas. Je dirais plutôt qu'il permet de voir mieux les gens. Et de les prendres dans leurs ensemble. Voilà pourquoi, Rosalie ne voit pas de défauts chez moi, et vice-versa. Quoique si, son obsession pour avoir un enfant, pourrait paraitre un défaut tout de même. Mais elle m'a promis de changer. Et je tiens en sa parole comme en l'évengile... Je sais qu'elle ne me fera pas souffrir avec cela. Elle m'aime autant que je l'aime, et je connais la souffrance que cela pourrait engendrer. Elle me dit qu'elle était sûr que je ne lui ferait jamais de mal, moi aussi. En tout cas, je me ferais trop de mal, à moi. Je lui jetais un regard complice...

-Je n'ai jamais été fan d'auto-flagélation, si tu vois ce que je veux dire, finis-je par dire avec un rire bruyant, comme toujours.

Elle se sera contre moi, et je l'entrainais pour. Je la serais également contre moi afin de la sentir plus proche de moi. Elle déposa un baiser sur mon coup qui me fit frémir, il était plein d'amour (et d'eau fraiche -_-', désolé). Je déposis un grand baiser sur sa tête, tandis que je m'emparis de ses mains pour les entremellers au miennes. Je collais ses magnifique paume contre ma bouche et je sourris. C'était un instant agréable...

-Si vous aviez à quel point je vous aimes Madame Cullen, vous seriez surprise.

Toujours dans ses bras, il lui parla du fait qu'il n'était pas fan des critiques de lui même, puis se mit à rire. Elle rigola à son tour et il lui prit ses mains. C'est vrai qu'Emmett n'était pas de ce genre là, et puis de toute façon c'était aussi bien. Rosalie, ne savant plus si ils devaient reprendre la ou ils en étaient quelques minutes auparavant, décida de l'embrasser de nouveau. C'était un baiser très tendre, elle ne voulait pas tout brusquer. La conversation qu'ils avaient eu avait en faite eu du bon, ils avaient pu mettre quelques choses à plat, s'expliquer sur certaines choses. Emmett avait pu se débarrassé de quelques questions qui lui hantait l'esprit, et Rosalie avait pu lui parler franchement de son désir d'avoir un enfant, et que maintenant elle ne serrait pas prête à tout plaquer pour en avoir un.

- Surprise ? Je ne pense pas ..

Elle le regarda avec amour, puis passa lentement ses mains sur son torse pour remonter jusqu'au cou de son mari. Elle mit ses mains sur sa nuque et l'embrassa plus longuement qu'il y a quelques secondes. Lorsqu'elle mit fin au baiser, elle se figea. Comment se fait-il qu'ils soient tous les deux depuis aussi longtemps ? Que faisaient les autres ? Au pire, ce n'était pas bien grave, c'était des vampires, elle n'avait pas à s'inquiétait de leur état. D'un côté, c'était aussi bien qu'ils aient la maison pour eux.

- J'espère que les autres vont renter le plus tard possible, j'ai bien envie de profiter de toi dans les moindres détails ..

Elle lui fit un clin d'oeil.

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Elle était magnifique, que demandé de plus, à moi, un simple vampire n'ayant rien de particulié, hormis une force survampirienne. Pour un vampire normal bien évidemment. Les nouveau-nées sont plus fort que moi, c'est sûr, mais je pourrais les battres car j'alis parfaitement bien force et intéligence. Depuis que Jasper m'a appris, c'est magnifique, je combas très très bien... Elle semblait certaine qu'elle savait à quel point je l'aimais, pas sûr. Je l'aime trop pour le mesurer, et trop pour qu'elle ne s'en rende compte, c'est certain. Elle est la femme de mon éternité, même plus que cela. Nous étions ensemble, pourquoi calculer le temps qu'il nous reste à vivre ? Le plus important, c'est nous deux, non ?!? Finnalement, nous avions parfaitement eux raison. Nous avions bien fait de pouvoir étalé nos question sur la table. Notre amour n'en était que renforcé, et cela, sur bien des points. Voilà pourquoi, je repris le compte du temps que nous avions devant nous. Je ne savais pas, et je ne voulais pas voir les Cullen arriver trop tôt. Elle m'observa et me dit qu'elle voulait profiter de moi dans les moindres détails, elle m'adressa également un clin d'oeil, je compris parfaitement. Je l'observais, elle était magnifique, et elle me faisait des avances, comment pourrais-je résiter ?!? Impossible.

-Cela tombe magnifiquement bien, moi aussi. Je souris et la pris dans mes bras. Nous arrivâmes dans notre chambre en quelque secondes. Impossible d'être dérangé, déclarais-je avec un sourire.

Je l'embrassais à présent, ne bougeant pas, je me couchais sur le lit au même moment. Et je me mis à l'observer, elle était debout, magnifique, somptueuse.

Emmett rayonnait de bonheur et elle aussi. Elle l'embrassa a nouveau et elle se sentit soulevée. En une fraction de seconde, ils étaient dans leur chambre. Il l'embrassa de nouveau et se coucha sur le lit. Rosalie pencha la tête, tout sourire. Elle vint lentement se mettre elle aussi sur le lit. Elle fut à quatre pattes au dessus d'Emmett, ses longs cheveux blonds lui caressait le visage. Elle baissa la tête vers le visage de son mari et l'embrassa. Elle se releva un peu et avec ses mains, elle parcourait son torse. Elle se mordilla la lèvre inférieure et le regarda. A présent, elle commença à soulever le tee shirt de son compagnon. Le contact qu'elle eut avec sa peau était agréable, il avait la peau douce et magnifiquement pâle. Se re-penchant en avant, elle lui fit un simple baiser dans le cou.

- Essayons de ne pas faire trop de bruit, on sait jamais, les murs ont des oreilles.

Elle se mit à rire. Ils allaient surement entendre les autres arriver avant, mais ils n'allaient peu être pas être trop attentifs lors des minutes à suivre à ce qui se passait autour d'eux. Alors qu'elle était en train d'embrasser Emmett dans le cou, elle descendit lentement sur son torse et le couvrit de baisers. Quelles sensations cela procurait. En tant que vampire, c'était vraiment plus intense, ils ressentaient davantage de choses physiquement que les humains. Elle eut quelques frissons.

- Emmett Cullen, vous me procurez d'énormes sensations..

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Son corps alla se poster sur le lit, à quatre pattes au dessus de moi, ses cheveux glissaient sur mon visage, ce qui, il faut l'avouer, n'était pas déplaisant, loin de là même. Elle se posta sur moi et continua à m'embrasser. Mes mains se posterent, l'une sur son dos, l'autre sur son visage, caressant les moindres partiel de celui-ci. Ce n'était pas déplaisant, au contraire, loin de là. J'aimais ces moments là, ces moments où nous sommes seul, à l'écart de tout le monde. Ces moments où nous pouvons faire ce que l'on veut, mais qui fini souvent de la même façon. Je vis mon T-shirt partir, elle commençait à l'enlever, de façon assez simple même. Le contact de sa peau sur la mienne était somptueusement intéressant. Je l'aimais aucun doute n'était à présent possible. Aucun. Elle déposa un baiser dans mon cou, ce qui me fit sourire. Pas trop de bruit, c'est vrai, ils peuvent rentrer à tout moment. Même si nous faisons attention et que nous sommens dans notre chambre, ils nous entendront quand même.

-Nous ferons de notre mieux, concluais-je avec un clin d'oeil.

Elle descendit le long de mon torse pour me ruer de baiser sur celui-ci, c'était tellement bon, et tellement fort. J'aimais cela à un tel point que mes yeux se fermirent comme pour profiter d'avantage de cela. Je devais également me concentrer pour me retenir, la dernière fois j'avais détruit le lit, enfin, nous avions détruit le lit, plus exactement. Mais bon, il n'était plus là, le pauvre. Elle me dit que je lui procurais d'énorme sensation, alors que je n'avais encore rien fait !!! Si c'est le cas tant mieux. Comme pour lui répondre, je lui fit un sourire, et par un détour, je la mis sous moi, cette fois-ci, c'était moi, qui la ruait de baiser tendre. M'arrêtant en haut de sa poitrine, je pris d'une main son corsage et sans faire attention, je l'arrachais d'elle. Il n'a pas survecu.

-Désolé, tu es trop attirante, dis-je avec des yeux à demi-clos. J'ai pas pû resister !!!

Et je repartis de plus belle en l'embrassant sur son ventre, c'était magnifiquement bon.

Il aimait ce qu'elle pouvait lui faire, et il l'a fit basculer pour qu'elle puisse être cette fois en dessous de lui. Elle passa sa langue doucement sur ses lèvres. Il se mit à la couvrir elle aussi de baisers et d'une seule main, il lui arracha son corsage. Rosalie regarda l'état du corsage et leva un sourcil. Il n'y avait pas été en douceur, sa s'était sur. Elle regarda Emmett et haussa les épaules en rigolant. Ce corsage n'était pas un de ses préférés, et puis se n'était pas le seul à être passé sous les mains de son mari. Il se remit à lui embrasser le ventre, Rosalie était bien. Lorsqu'il remonta doucement jusqu'à ses lèvres, Rosalie toucha son torse tout doucement et descendit jusqu'à son pantalon. Avec délicatesse, elle défit le bouton. Elle le regarda tout sourire et posa ses mains sur ses hanches. Elle l'embrassa de nouveau.

- Je vais me venger pour mon corsage

dit elle avec un petit sourire en coin.

Elle prit le pantalon d'Emmett entre ses deux mains et l'arracha a son tour. Elle haussa à nouveau un sourcil et envoya les restants du pantalon à travers la pièce. Et voilà, il se retrouvait en caleçon à présent. Rosalie passa maintenant ses mains autour du cou de son compagnon et le raprocha d'elle pour l'embrasser, avec fougue. Elle le laissa l'embrasser dans le cou.

- La passion s’accroît en raison des obstacles qu’on lui oppose.

Citation de Shakespeare. Elle venait de les revoir il y a quelques jours et voilà qu'elle le ressortait à ce moment là. Elle le regarda et lui fit un clin d'oeil, puis se remit à rire.

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MON JEAN !!! Il m'avait coûter hyper chere. Mais ce n'est pas grave, evidemment, j'en ai trente-cinq des commes ça. Un de plus un de moins. En revanche, c'est moi qui déchire les habits d'habitude !!! Pas elle. J'aurais ma revanche un jour. Pour sûr... Ma main caressa son ventre tandis que je m'amusais à y déposer des baisers tendres et doux. J'avais l'air assez niais en boxer, comme cela, c'est pour cela que je m'approchais d'elle, l'embrassant comme jamais. Heureusement que nous n'avons pas besoin de respirer, sinon, elle serait morte depuis longtemps. J'était en plein moment de passion avec elle. Elle se mit à rire, pourquoi ? Elle avait dit une citation qui me faisait penser à une chose.

-Je n'ai jamais aimé les obstacles.

Dis-je avec un clin d'oeil.

Je n'eu aucun mal à attraper son jean et à l'arracher lui aussi, pourtant, il n'avait pas trop eu de mal, je l'avais arraché proprement. Ses jambes étaient absolument parfaite. N'importe quel homme serait dans mon cas. Completement subjuger par de tel jambe. N'importe quel homme, moi y compris. Ma main carressa doucement celles-ci et je commençais à arriver au niveau de ses magnifiques. Je commençais à déposer de long baiser sur ses jambes. Je commençais à vraiment apprecier le moment. Je remontais pour m'emparer à nouveau de ses levres, la collant contre moi. Nous étions tout les deux en sous-vetement à présent.

-Voilà qui me parrait plus approprié

, dis-je en souriant.

» C'étais juste pour plaisanter { Rosalie
» Entre Soeur & Belle-Soeur { Pv Rosalie & Alice
» MoonLight {Rosalie FINISH
» séance de Shopping[pv Rosalie]
» Il faut qu'on parle { Pv Rosalie