Emmett Cullen est là...

Je suis née en 1913 à Gatlinburg au Tennessee je m'appelais avant Emmett McCarty, mes parents étaient de simples travailleurs. Ma mère travaillait comme vendeuse dans un magasin, un magasin qui prospérait et qui permettait de me nourrir. Mon père, lui, travaillait comme garde forestier. Il était le garde forestier des bois environnent. Ce qui m'emmenait à souvent le suivre. À le suivre parce qu'il était premièrement mon père. Et puis parce que j'ai toujours eu un certain intérêt pour la forêt, la chasse, les animaux... Malheureusement, les forêts environnante était peuplé de dangereux animaux, tel les grizzlys, les ours, les loups, parfois même des pumas. Il me fallait donc me promener proteger, et la meilleure protection dans les lieux ici présents, était encore mon père qui connaissait les lieux mieux que tout le monde.

En 1928, alors que je n'avais que quinze ans, je décidais d'arrêter de me concentrer sur l'école, mes parents n'eurent qu'à accepter mon choix, premièrement, car ils m'aimaient et ils savaient que je n'étais pas complètement heureux à l'école. Et deuxièmement, parce qu'ils m'ont toujours soutenu quand je souhaitais faire quelque chose. C'est donc comme cela que je décidais d'en finir avec les cours et de connaître mieux le métier que mon père pratiquait. Je voulais connaître les ficelles de son métier. Je voulais - même si j'en étais capable en partie - pouvoir reconnaître un animal d'un simple coup d'oeil. Je voulais savoir tout sur les forêts des alentours. Je voulais devenir le futur garde forestier.

Et c'est ce que je fis, j'ai appris tout ce que les bois du Tennessee pouvaient contenir. Tout ce que les bois cachait et que personne ne savait, en plus de cela, ces études ne me coûtèrent pas un sou, ce qui apaisait mes parents. Il faut avouer que nous avions de l'argent, mais pas de quoi financer mes études. C'était donc une opportunité pour eux, d'une part, il ne payait rien et de deux, mon père savait à qui il allait donner le poste, une fois qu'il voudra arrêter. C'était donc une chance pour eux, comme pour moi. Je savais enfin que j'allais pouvoir vivre mon rêve, comme il s'entend. Et j'étais presque arrivé à ce but, mais malheureusement, comme dans toute histoire. Une mésaventure m'est arrivé.

C'est en 1933, alors que je n'avais seulement vingt ans, que ma vie prit fin, ma vie humaine dans tout le cas. Contrairement à avant, mon père m'avait enfin autorisé à me promener dans les bois, il m'avait appris tout ce qu'il savait, ajouté à cela ma grande taille et ma force physique, il pouvait avoir entièrement confiance en moi. J'étais parti en randonné, pour le week-end, une randonnée qui me paraissait légèrement courte, et pourtant, je ne m'imaginais pas qu'elle allait être aussi longue à vivre. Le samedi, à environ seize heure, je rentrais dans un sentier, il était assez plat pour selon les montagnes qui étaient à côté. Il était couvert d'une herbe magnifiquement verte. J'avais parcouru la moitié de celui-ci lorsque j'entendis un bruit, un bruit que mon père m'avait appris à reconnaître. Le cri du grizzly. Pris d'une certaine panique, qui ne me ressemblait pas, je me suis dirigé vers la forêt, erreur fatale, même un débutant n'aurait pas commis cela, pourtant, moi, je l'ai fais.

Apparu devant moi un grizzly de taille largement supérieur à la mienne (malgré le moment, je pris le temps d'observer attentivement la bête, plutôt étonnant soit disant passant). Il devait faire trois têtes de plus que moi, sa fourrure était marron foncée méchée de beige, s'il n'avait pas été si terrifiant, j'aurais pu le trouver magnifique. Ses yeux, tel des billes étaient légèrement illuminé par ce que je pouvais connaître comme de la faim il devait avoir faim, certainement même. Ses griffes étaient somptueusements noirs, d'un noir nacré qui brillait avec les légers rayons du soleil qui passait à travers les feuilles des arbres. Il se jeta sur moi, j'en cru bien que ma vie était terminé et cela, j'en étais plus sûr que toutes autre chose. Même pas une lueur d'espoir gisait dans mes yeux, rien. J'allais accepter ma mort comme une erreur de ma part. J'allais accepter de mourir, j'allais accepter cela comme si je n'avais rien à en redire, comme si elle devait se terminer maintenant.

Mais, là, au moment auquel je me croyais déjà mort, un ange apparu, enfin, vu sa beauté, je le qualifiais comme tel, c'était comme si j'étais au paradis en étant pourtant en vie. Mes parents n'avaient jamais été croyant pourtant, à ce moment je crus que dieu m'avait octroyé une chance de me racheter. C'est peut-être bête, vu l'instant que je vivais, mais moi je le voyais comme cela. L'ange se débarrassa du grizzly comme une fillette se débarrasse de sa poupée trop usé à son goût. Ce fit pour moi comme une renaissance. Mais j'avais été grièvement blessé par la bête, lorsque je me rendis compte de cela, je savais que ma vie était finie. Je me souviens juste que l'ange me pris sur son dos et me porta, je ne savais où, car quasiment dès le moment où elle m'a attrapé, je me suis évanouie. C'est à peut-près tout ce dont je me souviens de ma vie en tant qu'humain.

Je ne me suis pas réveillé de tout le trajet qui m'a mené jusqu'à notre but, enfin, surtout le sien car moi, je ne savais pas où je me dirigeais, je ne savais pas ce qu'il adviendrait de moi. Je sentais juste, sa respiration calme et rythmé, elle ne semblait pas s'essouffler. Après tout, peut-être que les anges ne connaissent pas la fatigue. C'est ce que je me disais, c'est ce que je croyais. Je n'étais pas réveillé et pourtant, j'avais l'impression de ne faire qu'un avec cet ange, c'est comme si j'étais dans son propre corps. Comme si je pensais par l'intermédiaire d'elle. Oui, il faut avouer que c'est assez étrange cette sensation. Et pourtant c'est ce que je ressentais. J'avais l'impression que la seule chose qui me retenait de mourir c'était cet ange que je ne connaissais même pas. Peut-être était-ce cela, peut-être que je voulais en savoir plus sur lui, enfin sur elle.

Je ne savais quand nous allions arriver, car je n'étais pas conscient, mais je savais que ce j'allais découvrir me plairais, encore une fois, mes impressions de ce moment étaient étonnantes. Je sentis une sorte de douleurs qui me prit, d'un seul coup, une douleur énorme qui me brûlait de l'intérieur, pendant un léger laps de temps, j'ai cru que cet ange m'emmenait enfaîte en enfer. J'ai cru, qu'il voulait ma fin. Mais pourtant une part de moi ne voulait pas y croire, cet ange était bon, et j'en étais persuadé. La souffrance alla jusqu'à mon coeur, j'avais l'impression que celui-ci voulait sortir d'où il était. La douleur était telle que si j'avais pu, je me le serais arraché. Mais, j'étais toujours inconscient. Puis, contre toute attente la douleur monta légèrement et s'arrêta à un endroit auquel je ne m'y attendais pas. Ma gorge, elle me brulait. Une sensation me prit, je voulais boire, je devais boire. Mais je ne savais pas quoi, l'eau ne m'intéressait pas, je voulais autre chose. Je voulais quelque chose d'autre, quelque chose de meilleur.

Puis j'ouvris les yeux, il y avait quatre têtes penchées sur moi. Je voyais parmi elles, l'ange qui m'avait sauvé. Avec un homme blond, de taille moyenne, il était pâle et avait une blouse, une blouse de docteurs, alors comme cela, elle m'avait emmené à l'hôpital me disais-je. Non, je n'étais pas à l'hôpital. J'étais dans une simple demeure. Je regardais cet homme qui tenait dans ses bras une femme d'une incroyable beauté, elle était moins belle que l'ange qui m'avait sauvé, mais cela ne se valait que de peu. Surement de mon propre goût. Puis il y avait un dernier homme, il avait le visage de la même teinte que les autres personnes présentes dans la salle, blafard et pourtant, il était sombre. Je le sentais plus sombre que les autres. Ils avaient des yeux d'une beauté magnifique, or, miel, je n'avais jamais vu de tel yeux avant. Je voyais ses quatre visages d'une façon étrangère à celle que je voyais les gens avant. Je voyais plus de couleurs, je voyais mieux. C'était étrange. En me concentrant je me rendis également compte qu'il n'y avait pas que ma vue qui s'était amélioré. Mon ouïe était très fine, je percevais le bruit des voitures, je percevais également les paroles des gens dehors. Je ne voulais pas me lever, ou je ne pouvais, je ne sais pas exactement. Mais j'entendis une chose, une voix belle et somptueuse, celle de l'ange.

-Enfin, il se réveille, murmura-t-elle, pourtant, je l'entendis à mon grand étonnement. Les autres personnes autour d'elle s'illuminèrent légèrement, toute sauf une, l'homme au visage sombre. Ils étaient tous heureux si je puis dire. Surtout la femme qui était dans les bras du médecin. Puis ce fut lui qui s'adressa à l'ange.

-Rosalie, c'était ton choix, veux-tu lui expliquer, ou veux-tu que je m'en charge ? il avait dit cela d'une voix très calme, on sentait qu'il était comme un père pour elle. Ainsi donc, l'ange se prénommait Rosalie, quel nom magnifique. Malgré la douleur que je ressentais, mes yeux ne pouvaient réellement quitté des yeux de l'ange. J'étais subjugué par sa beauté. Et avant qu'elle ne puisse dire quelque chose, je voulus parler.

- Ro-sa-lie, entendis-je sortir de ma bouche. Pourtant, ce n'était pas ma voix, c'était celle d'un somptueux ténor. Comme-si ma voix avait changé. Et malgré cela, je réussis à tirer un sourire. Un léger sourire à cette ange. Lorsque je le lui est adressé, son visage s'illumina encore plus, elle était somptueuse. Je n'avais jamais vu un être aussi magnifique de ma vie. C'est donc surement pour cela que je jugeais qu'il s'agissait d'un ange. Elle se tourna vers le médecin pour lui parler.

-Non, je voudrais le faire. Mais, s'il te plait Carlisle, reste avec moi pour m'aider. Ainsi donc, le docteur se prénommait Carlisle. Original comme prénom. Celui-ci s'exécuta alors que les autres quittèrent la salle. La belle femme ainsi que l'homme au visage sombre. Les deux personnes s'approchaient de moi, et je redécouvrais encore plus leurs beautés. Surtout celle de Rosalie. J'étais comme aspirée par elle, j'avais envie de mieux la connaître. En revanche, eux, semblaient désolé, comme s'ils allaient m'annoncer une mauvaise nouvelle. Hormis la douleur incessante que j'avais dans ma gorge, je ne m'étais jamais aussi bien senti. J'observais leur avancer, et comme si elle avait été désolée de m'avoir sauvé la vie, elle prononça quelques mots qui allaient changer ma vie.

-Excusez-moi Emmett, je suis désolé. Vous n'êtes plus ce que vous étiez, maintenant, vous êtes devenu ... un vampire. Ma première réaction quand j'entendis ses mots, fut de me demander comment elle connaissait mon prénom, après réflection j'avais surement mes papiers sur moi. Puis ma deuxième réaction fut l'incompréhension. C'est là qu'intervint le docteur. Il m'expliqua exactement ce que j'étais, ma nature actuel. Pendant près d'une heure, ils m'expliquèrent ce qu'ils étaient, leurs natures. Des vampires. Puis ils m'expliquèrent leurs manières de vivre, différente des autres. Ils étaient des vampires "végétariens". Ceci m'amusa beaucoup. Il m'expliqua également qui ils étaient. Ainsi l'autre femme était Esmé et l'homme mystérieux, Edward. Celui-ci pouvait lire dans les pensées, c'est surement comme cela qu'ils ont connu mon prénom. Lorsque je me levais enfin, je découvris une vitesse de déplacement étonnante. Et je me rendis compte que je ne craignais plus la fatigue. Et je partis chasser, les animaux. Mais en cours de chemin, une odeur somptueuse me caressa le narines. Pas celle de Rosalie qui m'avait accompagné. Je suivais cette odeur et tombais sur un humain. Ma soif l'emporta sur mon dégout et contre mon gré, j'ai tué cet homme qui n'avait rien demandé. Je voulus arrêter, car je voulais être comme ceux qui m'avaient recueilli mais, je n'y arrivais pas. C'est donc comme cela que j'ai tué plusieurs humains, avant de m'arrêter définitivement, dégouté de moi-même.

Je me suis marié avec Rosalie, visiblement j'étais plus qu'amoureux d'elle et c'était réciproque. Et nous changions souvent de maison. Je découvris enfin réellement Edward, cet homme était très mystérieux, mais tellement gentils. Il semblait seul. C'était devenu mon frère. Un vrai frère. Un jour, nous étions en chasse près d'une ville nommée Forks, nous fûmes découvert par une tribu indienne nommée les Quileutes. Ils avaient le don de se transformer en loup. Des loups-garous. Parce que nous étions différents et grâce à Carlisle, nous signâmes un pacte de non-agression. Et nous sommes depuis en harmonie. Puis notre tribu a été rejoins par deux personnes. Lors d'une chasse nous vîmes un grand vampire suivi d'un petit lutin approcher. C'était Alice et Jasper qui ont rejoint après notre clan. Puis dernièrement, Edward a enfin trouvé son âme-soeur, celle-ci très sympathique, mais qui n'est guère apprécié par Rosalie. Manque plus qu'à savoir comment ça va ce passé....